3 questions à Boris Minet, Stade Français Paris

3 Questions à…

Boris Minet, Responsable informatique Stade Français Paris

Titulaire d’un BTS développeur informatique, Boris intègre le club en 2006. Vacataire, CDD puis CDI, Boris est gestionnaire Stock et VAD avant de reprendre le poste de responsable informatique en 2013.

 

Peux-tu nous présenter ton métier ?

La mission première du responsable informatique est de gérer et entretenir le parc informatique de ses collaborateurs (ordinateurs, téléphonique, serveurs, etc.). Il y a ensuite les missions liées à l’activité et au lieu qui sont assez spécifiques :

  • Configuration du contrôle d’accès jour d’événement, en lien avec le service Billetterie,
  • Paramétrage du système d’affichage dynamique du stade,
  • Référent technique sur des séminaires que nous pouvons accueillir.

La crise actuelle a-t-elle un impact sur ton activité ?

En cette période particulière de confinement, l’activité est réduite. Une « cellule de veille » a été mise en place pour continuer à garder une certaine activité et un lien avec nos prestataires, nos supporters, nos partenaires, etc. Je vais 1 jours par semaine minimum au travail et assurer le reste en télétravail. Il a fallu dans un premier temps s’assurer que chaque collaborateur continuant à travailler, puisse accéder aux serveurs de chez eux et trouver des solutions fiables de conférence téléphonique et visioconférence.

Tu es également représentant du personnel au sein du CSE, qu’est-ce qui t’a poussé à t’investir ?

Je suis élu du personnel depuis 2015. Je voulais m’investir dans la vie de l’entreprise, pour mieux comprendre le fonctionnement et les problématiques. En tant « qu’ancien » du club, je pense avoir une certaine légitimité pour aider, accompagner et représenter mes collègues.

Le fait d’être membre du CSE occupe beaucoup de temps en ce moment. On continu d’avancer sur les sujets de fonctionnement du CSE. Nous sommes également sollicités par nos collègues, nombre d’entre eux s’interroge sur la situation actuelle et le chômage partiel.